A l’origine de La Méthode C.O.A., il y a une nécessité intime, sociale, politique : REBONDIR ! Chorégraphe, danseuse, performeuse et auteure, je cherche ma réponse auprès de spécialistes du rebond : les amphibiens. En m’inspirant de mes recherches, j’élabore une méthode de développement très personnelle visant à révéler la grenouille intérieure de l’individu.
Distribution :
Conception, interprétation : Marion Uguen
conseils dramaturgiques : Anna Schmutz
coaching vocal : Myriam Djemour
prise de son : Teddy Degouys
Production : les Dupont/d
Coproductions : Le Vaisseau, fabrique artistique au Centre de réadaptation de Coubert/Les Journées Danse Dense, Pantin/Nouveau Studio Théâtre, Nantes
Accompagnement production : Bora Bora Productions
Aides au projet : DRAC Pays de la Loire / la Ville de Nantes
Mises à disposition : Honolulu, Nantes ; Lolab, Nantes ; CCN Le Phare, Le Havre ; Théâtre du fil de l’eau, Pantin ; Danse à tous les étages, Rennes
Presse
Olivier Fregaville-Gratian d’Amore, www.loeildolivier.fr, 01/2021
“Regard clair, Marion Uguen scrute chaque arrivant dans la salle. Un sourire, un geste, elle prend le temps d’installer une connivence avec son public. Il faut dire que le moment est d’importance, la jeune femme s’apprête à révéler à un petit comité les fondements de la méthode C.O.A., une technique essentielle pour se recentrer, de voir différemment le monde inquiétant qui l’entoure. Clown à ses heures, fine observatrice de nos sociétés contemporaines, la chorégraphe, danseuse, performeuse et autrice, signe un conte décalé entre conférence scientifique et délire granguignolesque. Elle saute et virevolte dans le seul but de révéler la petite grenouille qui se cache en son sein. Aux mots qui se percutent, se conjuguent et s’électrisent, les mouvements viennent ajouter à l’ensemble une dimension follement poétique qui grise et donne la pêche. Concluant son spectacle ovniesque, un brin politique, par une danse tribale, la jeune femme renoue avec la terre, sort de sa coquille et bondit telle une magnifique amphibienne, enfin heureuse.”